mardi 31 juillet 2007

La Maison de mes Reves...

Le placard de mes reves n'existe encore que dans mes reves, mais en attendant, j'en profite pour vous montrer la Maison de mes Reves.
C'est la maison qui illustre le catalogue printemps-été de Zara Home. Je sais, je suis kitsch, mais j'assume. Nous avons la chance d'avoir 3 Zara Home à Dubai, que je dévalise régulierement, et de maniere encore plus intense en période de soldes. Et dire que je ne sais meme pas où je vivrai dans 6 mois, il va falloir ensuite demenager tout ça Dieu seul sait où...

Dans mes reves, mon entrée ressemblerait à cela:

Ma chambre à quelque chose comme ça:
Et mon coin lecture/boudoir à ça:C'est pas encore tout à fait ça, mais on y travaille...

lundi 30 juillet 2007

Superfille-Ciel au pays de l'or noir...

Hier je suis allée pour la première fois de ma vie au Royaume du Barhain.

Je devais animer un training là-bas.
Déjà, je me sentais un peu déplacée, venant pour faire un training sur ‘la marque la plus sexy du monde’ dans un pays où je risquais de me faire lapider pour moins que ça. De plus, ma présentation contentait une occurrence régulière du mot « sexy » (138 fois ??), et des visuels à faire rougir les poissons.
Enfin, j’avais demandé plusieurs fois à mon distributeur bahraini si c’était ok que je ne parle pas l’arabe, il m’avait rassurée.
Ne jamais croire un Barhaini.
Malgré ses réassurances, je me suis retrouvée à faire un training sur ‘la marque la plus sexy du monde’ devant une cinquantaine de femmes, dont 40 couvertes de noir des pieds à la tête, et qui n’avaient visiblement pas pris anglais LV1. Toutefois, elles sont restées attentives, essayant sans doute de deviner ce que je leur racontais, à grand renfort de sourires, visuels et cadeaux. Je pense finalement qu'elles ont passé un bon moment: les bonbons sur les tables étaient bons, il faisait moins chaud que dehors, et le lunch était exquis.
Autant vous dire que ces 2 heures de training furent très longues…

Apres moultes péripéties et efforts désespérés pour motiver 50 promotrices à vendre mes parfums, mon client me proposa fièrement de m’emmener en visite.

Farooq Abdullah est grand, assez drôle et a l’anglais approximatif : son anglais est à peu près aussi bon que mon arabe, c’est dire. Il est originaire d’Iran de la 3eme génération, mais malheureusement pour moi, il n’a rien de la beauté des Perses.
Apres une visite du Barhain (j’ai vu les 3 malls principaux, c'est-à-dire à peu près tout ce qu’il y a à voir), mon client me déposa à l’aéroport sous les 46 degrés ambiants.

3 heures d’attente de mon avion en retard me permettaient de réfléchir au sens de ma vie, méditer sur le livre Le Moine qui vendit sa Ferrari, brainstormer sur mon projet professionnel, faire le tour des bijouteries de l’aéroport, et surtout mon passe-temps préféré : observer les autochtones. Barhain est comme un mini-Dubai, en cours de développement. Proportionnellement, il y a plus de locaux que les 15% des Emirats, ils sont à peu près 70%, et, contrairement à ceux de Dubai, ils travaillent et font autre chose qu’arpenter les Malls toute la journée à la recherche du prochain Starbucks. Ils ont les mêmes DishDash (grande robe blanche et turban qui habillent les locaux dans le Golfe) qu’à Dubai, les mêmes ‘Schlapps’ (leurs chaussures Scholl ou Birkenstock qu’ils portent en dessous et qu’ils enlèvent négligemment en signe d’aise, par exemple quand ils sont au cinéma le vendredi soir), la même démarche lente, et la même attitude nonchalante.

Franchement, j’aurais voulu être avec Papa, grand fan de Tintin devant l’Eternel, j’étais au Pays de l’Or Noir.

Je m’attendais à ce que Bab El Ehr ou Ben Kalish Ezah débarquent et me demandent de partager ma table au Costa Café de l’aéroport. Imaginez ces personnages aujourd’hui errant dans un aéroport, habillés de la même manière, mais avec un Blackberry en poche. Je regrette de ne pas avoir pris de photos.

Quant aux femmes, la seule partie du corps que j’ai pu entrevoir étaient leurs yeux, qu’elles avaient fort maquillés. Et je peux juste vous dire que le sac en fausse fourrure imprimé tigre ou panthère, avec des Swarowski dans les yeux est une tendance lourde de l’été.
Je veux bien m’acclimater et ajouter un peu de couleur locale, mais je ne suis pas prête de renoncer à mon Mombassa pour autant.

mercredi 25 juillet 2007

Le placard


Superfille-Ciel ayant chanté tout l’été se trouva fort dépourvue lorsque la bise fut venue. Alors que sa colocataire F. la fourmi sait rentabiliser le moindre centimètre carré d’espace, et caser ses 10 paires de chaussures et son vestiaire en 2 placards, Superfille-Ciel ne sait plus où caser ses 36 sacs à main, ses 80 paires de chaussures, ses 56 chemisiers, ses 77 jupes…
Las, que faire ? La seule idée de se débarrasser de ses précieux chiffons amassés avec passion brisait le cœur de votre pauvre amie.

L’autre matin, j’avais prévu toute excitée d’étrenner enfin ma nouvelle jupe portefeuille Armani noire. Et quoi de mieux pour aller avec qu’un top en soie lilas Roland Mouret à décolleté bénitier ? Las, j’ai perdu la foi quand en le sortant de ma penderie, le décolleté bénitier était devenu un décolleté chiffonnier !

Il fallait que je fasse quelque chose, ça ne pouvait plus durer. Et j’ai cette pièce dans mon appartement baptisée le « shoe show-room », qui ne sert a rien qu’à mettre le boui-boui, des chaussures aux raquettes de tennis, de l’aspirateur à mes vieux Vogue lus et relus.

Si vous n’avez pas trop entendu parler de moi ces derniers jours, c’est que j’étais occupée à jouer les architectes en herbe : j’ai dessiné le placard de mes rêves, trouvé des menuisiers, et dans quelques jours mon dressing-room va être installé. Autant dire un de mes vieux rêves qui se réalise, enfin un vestiaire à la hauteur de ma garde-robe ! Cependant, il ne faut pas que je trouve là un prétexte pour acheter et dépenser plus, il faut penser au retour un jour!

Mais vous voyez, la vie est composée de bien petits plaisirs parfois…

jeudi 19 juillet 2007

A bas le bio, ou comment je suis devenue verte...

Superfille.Ciel traverse sa grande période Bio.
Apres la lecture de l'excellent mais effrayant livre de Kevin Trudeau, More natural cures they don't want you to know about, ma vision de la nourriture et des médicaments a dramatiquement changé. Je ne prends plus un seul médicament depuis 2 mois (à part la pilule, on ne peut pas y couper), j'ai arreté net le canderel cancerigene (d'ailleurs je legue mes boites canderel collectors karl lagerfeld/christian lacroix/sonia rykiel à qui veut bien s'intoxiquer au cancer), j'ai stoppé le café, je n'achete plus de shampooing ou de gel douche qui contienne du Sodium Lauryl Sulfate (difficile à trouver, ils en contiennent quasi tous!), et je prends des vitamines 100% organiques et naturelles tous les matins: de la vitamine E, de la vitamine C, de l'Acidophilus Probiotic (à vos souhaits), et de l'huile de foie de morue (en gelules, je précise, car si je suis courageuse, je ne suis pas téméraire).


De plus, je ne fume pas, bois tres peu (forcément, en vivant à Dubai où l'alcool n'est pas en vente libre), ne mange jamais de porc (plein de toxines selon Kevin), JAMAIS de junk food, et je fais beaucoup de sport. Et croyez-moi, il faut vraiment le vouloir, jouer au tennis, avec des temperatures flirtant avec les 42 degrés, et 80% d'humidité.
Bref, j'ai une vie saine à Dubai, plus saine que celle que je menais à Paris: 0 sport, beaucoup trop de vin/champagne, mais toujours 0 cigarette.
D'ailleurs, quand tout le monde au bureau a attrapé la grippe la semaine derniere (et oui, la grippe frappe meme à Dubai, grace au chaud-froid entre 42 degrés dehors et -10 au bureau dans la clim), moi je suis restée sereine. Ceci soit dit en passant, cela ne m'aurait pas dérangée d'etre un peu malade, histoire de rester à la maison et finir de piger les 127 magazines cachés sous mon lit, mais non, j'étais en pleine forme.

Bref. Il y a quelques jours, alors que j'étais chez Organics Supermarché, la cantine bio de mon quartier où le litre de lait de vache est à 6 euros, je décidai de gouter un peu les pains bios proposés à la dégustation, pour changer un peu de mon Quinoa Bread bi-hebdomadaire. Encouragée par le bon gout du pain aux céréales proposé dans la 1ere corbeille, et m'étant relativement empiffrée de qq morceaux dans le dos de la serveuse qui me coupait consciencieusement mon Quinoa, je tendais les doigts vers la 2nde corbeille de pain de mie, quand, horreur totale et absolue, je vis un CAFARD enorme et vivant marchant sur une des tranches de pain immaculée. Je ne pus m'empecher d'émettre un cri quand il me regarda de ses grands yeux globuleux.
Toujours soucieuse du bien-etre collectif, je le signalais à la vendeuse innocente qui me tendait mon quinoa, et quelle ne fut pas ma surprise quand elle me repondit: oui, je sais, la compagnie pesticides vient demain.


Le pire, c'est que sur leur site, il s'auto-proclament "The only chemical, pesticide and fertilizer free food market in UAE. Over 5000+ Organic items in our stores, from fresh veg to home items", ou encore "Where food tastes the way it used to be". J'espere que c'est de l'ironie, car je ne suis pas certaine que mes ancetres se nourrissaient de cafards.


Je pense que c'est à cet instant que je suis devenue vraiment verte. Je veux bien etre bio, et aimer les animaux, mais je pense qu'un cafard qui marche sur du pain de mie destiné à la dégustation ne mérite pas de vivre. Et la gentille vendeuse de vaquer à ses occupations alors que je crachais ce qu'il me restait de pain aux céréales dans la poubelle bio. Je sentais encore comme des pattes de cafard sous mes dents, et je trouvais encore le courage de lui tendre la corbeille de pain en lui demandant de le jeter, avant de courir à l'extérieur respirer un grand bol d'air pollué.
Quitte à mourir intoxiquée, je veux bien mourir gaiement, et je ne pense pas que la cafet bio d'Organics Café at The Greens Dubai me reverra de sitot, vous me croiserez plutot au Burger King de la station essence de Barsha, ou encore chez Mac Do.

mercredi 18 juillet 2007

Petit déjeuner à Paris


Dubai, c'est top, mais il faut bien lire la notice, et l'abus de paillettes est mauvais pour la santé.

J'avoue que l'idée de rentrer vivre à Paris me tente de temps à autre.

Shhhhh! il ne faut pas le dire trop fort, je ne veux pas déjà réjouir mon amie homonyme si ce n'est pas encore sur...

C'est vrai, il faudrait laisser mes amis de Dubai et d'ailleurs, mon grand appartement climatisé, la piscine de mon immeuble, ma Kompressor, les diners sur la plage, le bronzage permanent, les soirées 80s au Sho-Cho, les cours de tennis 3 fois par semaine, le body balance.

Pour retrouver le métro bondé, les gens qui tirent la tronche, la pluie, les prix surtaxés, l'impot sur le revenu, le service désagréable et les magasins qui ferment à 19h.

En meme temps, je retrouverais mes grandes amies, le Palais-Royal, le bon gout ambiant, les théatre et expositions, et le camembert au lait cru...

Mmmh, j'y pense beaucoup en ce moment.


Et comme une cerise sur le gateau, pile à ce moment de réflexion intense, quelle ne fut pas ma surprise, et mon plaisir, lorsqu'il y a quelques jours mon amie Mzelle Fraise me dédicaçait l'une de ses oeuvres... Un petit-déjeuner à Paris!

J'en rougis d'envie!

Merci, mzelle Fraise, et longue vie à ton joli blog!


lundi 16 juillet 2007

Le bal des vampires

Hier soir, je suis allée à la réception donnée par le Consulat pour le 14 juillet.
Je sais, nous étions le 15 juillet, mais comme Dubai est toujours en retard niveau fashion (les filles arborent encore leggings et imprimés panthere), je pense que ce délai n'a choqué personne.


Les gens étaient plus occupés à deviser sur les trois sujets de conversation favoris de tout Dubaien qui se respecte: immobilier, le trafic et salik (le nouveau systeme de péage qui défraie la chronique à Dubai). En effet, pour combler l'ennui qui anesthésie la ville, surtout lors des mois brulants d'été, lancez ces 3 sujets de conversation lors d'un raout mondain. Ne pouvant évidemment pas parler de la pluie et du beau temps (il fait toujours beau et chaud à Dubai), vous etes à peu pres certain de faire mouche et fédérer la majorité de votre auditoire: chacun est intarrissable en histoires et anecdotes sur ces 3 précieux sujets.


Mais pour revenir à la réception de Mr le Consul, je dirais que je fus relativement déçue non par la climatisation capricieuse, ni par le discours inaudible du Consul, ni encore par la musique d'ascenseur insupportable que les hauts-parleurs diffusaient en boucle (on a meme eu droit à Titanic), mais par la qualité des gens présents.


A Dubai, j'ai appris qu'un passeport avait un prix, et la nationalité française est l'une des plus raffinées, juste une petite pointe d'accent nous confere immédiatement un crédit élégance-chic-crédibilité que j'ai souvent du mal à m'expliquer, car souvent mal fondé.


Surtout au regard des français présents à cette soirée: cela n'avait rien d'une réception de Mr. l'Ambassadeur, mais elle tenait plutot du bal des pompiers de Knock-le-Zoute. Beaucoup étaient en jean, t.shirt et baskets, j'ai meme vu un t.shirt tete de mort à paillettes, un chapeau de schtroumph orange, ou une starlette Bollywood Style. Non, Dubai n'est pas le spot fashion que le monde veut bien croire, parfois je me demande si beaucoup de français qui y débarquent ne seraient pas des asociaux demeurés incapables de trouver un emploi en France. Je sais, j'en suis moi aussi, c'est ce qui ne manque pas de m'effrayer.
La soiree a atteint des sommets quand on me presenta le sosie de Beatrice Dalle, fraichement debarquee a Dubai, et en quete d'un travail. A se demander pourquoi les gens debarquent a l'autre bout du monde sans meme savoir ce qu'ils vont y faire, mais je ne veux pas etre LDV. Bref, Superfille-Ciel, toujours prete a aider, demande dans quel domaine Beatrice veut travailler. "Dans le luxe" me repond elle, me toisant d'un air hautain du haut de son metre 80, comme si ma robe bleu klein, mon sac Chanel ne l'avait pas deja renseignee sur mon milieu. Pas decouragee, je lui demande pour quoi exactement, elle me repond encore "pour une marque de luxe". Dans un dernier elan d'humanite, je lui demande ce qu'elle faisait a Paris, si elle etait en marketing, commerce, finance, pour decouvrir finalement qu'elle travaillait "dans le luxe a Cannes"; elle etait vendeuse pour Montblanc! Je n'ai rien contre la vente, et il n'y a pas de sot metier, mais devant son air solennel, j'ai prefere tourner mes talons vernis Vuitton. La fete des ploucs battait son plein.

Heureusement, Superfille-Ciel et ses potes fashion étaient présents pour relever le niveau!

Ce n'est pas tous les jours que l'on voit de l'alcool gratuit à volonté à Dubai, et Superfille-Ciel se laissa bientot enivrer par le vin, les volutes de tabac exacerbées par la climatisation défaillante, et les petits canapés. La soirée passa trop vite pour que je me rende compte à la fin que nous étions entourés de tous les gens que je ne voulais pas voir sur un périmetre de 10 metres, et il fallut bien me décoller du buffet pour rentrer. Le glas avait sonné quand je réalisai le niveau des conversations qui m'entouraient: on parlait argent, salaires, et on s'échangeait cartes de visite.

Brrr! Grand moment de solitude: ce n'était pas le bal du 14 juillet, mais le bal des vampires, rappelez-vous la scene où Polanski et ses accolytes se retrouvent seuls face au miroir dans une salle pleine à craquer. Il était grand temps de rentrer à mon petit appartement bien douillet, apres avoir affronté en vrai la Sheikh Zayed Road embouteillée à minuit, et passer le salik.

mardi 3 juillet 2007

S*uce Light

Avis à toutes les fashionistas de Dubai et d'ailleurs!
J'ai trouvé une adresse en or, que, grande partageuse, je m'empresse de vous faire partager.
Pour celles qui ne la connaissent pas encore (shame on you, Dubaiennes!), S*uce (prononcer 'Sauce', et pas autrement, ok?!), c'est un peu le Colette de Dubai. C'est là où on lance les tendances, et tout ce que l'on portera au Sho-Cho la saison d'apres.
Eh bien, voici l'adresse trop souvent tenue secrete jusqu'ici, de leur stock: S*uce Light, Jumeirah Center, Jumeirah Beach Road. Un paradis merveilleux où la vendeuse vous accueille avec la formule magique: "everything is at -80%", traduisible aussi par: "shop till you drop".
Je dois vous laisser, mais vous savez où me trouver...

lundi 2 juillet 2007

Bebe

J’ai l’honneur de vous présenter mon futur neveu et filleul: Bébé. Appelons-le Bébé pour le moment, car c’est ce qui lui pend un peu au nez, avec l’hésitation que ses futurs parents prennent à lui donner un prénom.
Entre nous, ma petite sœur adorée a toujours été difficile : végétarienne, elle n’aime pas les petits pois, et prend toujours 6 mois pour se choisir la paire de chaussures de la saison, ce qui résout le problème, puisqu’à la fin de la saison, elle n’a plus besoin de chaussures de cette saison. Elle ne parvient même pas à se choisir un cadeau d’anniversaire, au grand dam de Papa qui lutta de nombreuses années pour trouver quelque chose qui lui fasse plaisir, mais ceci est une autre histoire…
En même temps, je vous rassure, elle et son amoureux lui ont déjà choisi une chambre, un papier peint, et un landeau, ce qui prouve que la parenté lui va bien.
Mais revenons au prénom de Bébé : une chose est sure, c’est que son prénom commencera par un A : Alexandre, Aurélien, Armand, Arthur… on verrA !
Si vous avez des suggestions…

Enfin, l’une des grandes frustrations de vivre à l’étranger est de ne pas suivre la grossesse de ma sœur, et ne pas voir ce petit bout grandir. Presque de quoi me faire changer d’avis et revenir en France très vite. Mais l’ennui, l’ennui de Paris…
Enfin, ce qui est fascinant, c’est de voir ce ventre si rond. Combien de promesses se cachent sous ce petit ventre? Bébé sera-t-il savant, philosophe ou président ? Je trouve cela fascinant…